Vos questions
Tous les bacs généraux et technologiques sont acceptés pour être admis dans le Bachelor ACT.
Aucune spécialité ou option n’est nécessaire en classe de terminale ou de première. Il faut déjà l’avoir !
En suivant le bachelor ACT jusqu’au bout, vous obtiendrez un Bachelor Bac+3 (Niveau 6).
C’est un diplôme d’établissements délivré par CYU et l’ESSEC, dont la valeur est principalement garantie par les établissements qui le délivrent.
Ce sont deux institutions reconnues : CYU est un établissement qui dépend du ministère de l’éducation supérieure, de la recherche et de l’innovation.
L’ESSEC est une école de management reconnue dans le domaine de l’enseignement supérieur pour son éducation d’excellence.
Pour candidater en 1ère année du Bachelor ACT, il faut passer par la procédure Parcoursup.
Le cursus étant une filière sélective, les candidats sont ensuite sélectionnés par un entretien d’évaluation et un atelier collectif permettant d’évaluer leur candidature.
Nous attendons des candidats les qualités suivantes :
- Être motivé.e : Les étudiant.e.s doivent démontrer une motivation forte pour le bachelor, pour les défis de société et démontrer qu’ils.elles sont prêt.e.s à s’engager pleinement dans leur formation.
- Être engagé.e : A travers leurs centres d’intérêts, leurs activités extra-scolaires et/ou leurs réalisations, les étudiant.e.s doivent démontrer comment elles.ils se sont engagés jusqu’à présent dans leurs familles, dans leurs écoles, dans leurs quartiers ou dans leurs villes. Tous les engagements sont les bienvenus et peuvent être valorisés : soutenir sa famille, faire du bénévolat, militer pour une cause, prendre des responsabilités dans son lycées ou sa ville, avoir initié des projets ou des actions collectives, pratiquer intensément un sport ou une activité extra-scolaire, avoir le BAFA ou être pompier volontaire…
- Être curi.eux.se, autonome, ouvert.e d’esprit et d’avoir envie de travailler en équipe : Les étudiant.e.s doivent démontrer qu’ils.elles sont prêt.e.s à s’adapter à un enseignement pluridisciplinaire qui met principalement l’accent sur l’apprentissage par projet, le travail en équipe, la coopération et l’autonomie.
Pour suivre le Bachelor ACT, les étudiants doivent s’acquitter des frais de scolarité suivants :
- 1ère année : 8500€
- 2ème année : 8500€
- 3ème année : 8500€ ou gratuité si vous choisissez l’alternance
Le coût total de la formation est donc de 17000€ sans parcours d’alternance.
Des bourses sont accordées sur critères sociaux allant jusqu’à l’exonération totale des frais de scolarité. voir Lien vers la page
Le cursus du Bachelor ACT est exigeant. Nous prévoyons entre 24 et 26h heures de cours par semaine.
À cela s’ajoutent entre 10 et 15h de travail individuel et en équipe sur les différents projets
Les étudiant.e.s sont tou.te.s accompagné.e.s dans ce travail par l’équipe pédagogique.
Des facilités d’aménagement des horaires peuvent être envisagées avec l’équipe pédagogique pour faciliter les emplois étudiants.
La première année est constituée d’une promotion de 30 étudiant.e.s.
Toutes ces places seront accordées après une candidature sur Parcoursup et une sélection lors des journées de recrutement.
Les enseignant.e.s du cursus sont le plus souvent des professionnels en activité ou des enseignants-chercheurs.
Les premier.e.s enseignent ce qu’ils.elles pratiquent au quotidien dans leur activité, ce qui est une garantie supplémentaire de professionnalisation.
Les second.e.s assurent le lien avec la recherche et l’assurance de cursus académique de qualité.
Un ordinateur portable personnel sera nécessaire aux étudiants afin de commencer à utiliser les logiciels de partage de documents et de travail.
Voici quelques métiers que nous avons identifié pour les étudiants de la formation : Chef de projet en organisation, Chef de projet Green IT, Responsable des projets organisation, Chargé.e de développement économique, Chargé / Chargée de projet en aménagement du territoire, Consultant en organisation, Chargé.e de projet de développement social urbain, Médiateur.trice social et culturel , Chargé de projet et de développement territorial, Responsable d’association à caractère social, Chargé de développement social, Conseiller.e en conduite du changement, Chargé de mission développement durable, Responsable développement durable, Coordinateur social / Coordinatrice sociale de quartier, Chef de projet de développement local, Responsable RSE, Chargé de mission développement durable / RSE, Chargé.e de mission RSE…
Néanmoins, comme les étudiant.e.s le verront et l’expérimenteront, de nombreux métiers s’offrent à eux. Ils.elles auront l’occasion de se spécialiser s’ils.elles le souhaitent. De plus, le monde professionnel est en évolution importante, et les métiers concernant les transitions écologiques sont de plus en plus demandeurs de personnes qualifiées et capables d’en comprendre les enjeux. Les étudiant.e.s arriveront donc dans un monde professionnel prêt à les accueillir.
Le bachelor ACT est aujourd’hui financé par CYU et l’ESSEC, ainsi que par les étudiants. L’Etat ne nous subventionne pas, d’où des frais importants. Nous sommes également à la recherche de mécènes : des subventions plus importantes nous permettraient notamment d’accueillir plus de boursiers ou de mettre en place un système d’exonération partielle des frais de scolarité en fonction des tranches d’imposition.
Le Bachelor ACT étant une nouvelle formation, il ne permet pas pour l’instant de bénéficier des bourses du CROUS. Celles-ci ne sont accessibles qu’aux formations qui sont “visées” par l’État, et ce visa ne peut être délivré qu’après la diplomation de la première promotion. Nous pourrons donc avoir ce visa dans trois ans, ce qui signifie que les étudiants du bachelor devraient pouvoir bénéficier des bourses dans 3 ans également. Nous mettons néanmoins tout en œuvre pour permettre aux étudiants de profiter de bourses d’études.
L’équipe pédagogique dispose d’un bon réseau et pourra aider les étudiants à trouver ou créer des opportunités d’alternance ou de stage. Néanmoins, c’est aux étudiant.e.s d’être proactif.ve.s dans leurs recherches.
Le semestre international a lieu en 3ème année, lors du premier semestre. Il peut prendre plusieurs formes :
+ Échanges (Erasmus et erasmus +) avec une université étrangère ou une école ;
+ Services civiques, stages ou projet à l’international
+ Voyages d’études
L’école dispose d’un service dédié à ce semestre et l’organise avec chacun des étudiants.
Le semestre à l’international est obligatoire sauf pour les étudiants qui décident d’opter pour l’alternance en troisième année.
Le Bachelor ACT a pour objectif de lancer un nouveau mode de formation : en pédagogie active, sur le terrain, faite par des professionnels de l’engagement.
Sur les transitions comme thèmes d’apprentissages, il existe d’autres formations ; sur la pédagogie active ou la pédagogie par la recherche, il en existe également.
Le Bachelor ACT innove particulièrement en intégrant le développement personnel et collectif des étudiant.e.s et en les accompagnant sur leurs projets. Les formations qui permettent de travailler sur le terrain dès la première année post-bac sont assez rares. Et surtout : la coopération, sur une même formation, entre une université publique et une grande école de commerce reconnue, c’est très rare.
Enfin, le Bachelor ACT propose une ouverture aux publics en difficulté — ce qui est plutôt rare pour une école de commerce — en proposant une gratuité pour tou.te.s les boursier.e.s et en faisant une sélection sur d’autres critères académiques.
On peut entendre que le Bachelor ACT fait de la discrimination positive… qu’en pensez-vous ? Pour nous, c’est vrai ! Car nous considérons que de travailler sur les transitions sociétales et écologiques, cela nécessite d’intégrer toute la société.
Toutes les candidatures sont donc étudiées, et selon des critères qui ne sont pas uniquement académiques (c’est-à-dire, au lycée, les notes) : nous prenons en compte les appréciations des professeurs, un peu, mais surtout la motivation des étudiants à entrer dans une formation sur les transitions.
Celle-ci est évaluée à la fois à l’oral et à l’écrit, et elle accueille les difficultés de chacune et chacun. Nous voulons créer la diversité la plus large possible et impliquer chaque membre de la société, quelle que soit son origine sociale ou son genre. Nous considérons qu’il faut agir positivement, et parfois artificiellement, pour lutter contre le plafonds de verre et l’autocensure. C’est pour cela que nous valorisons tout type de profils !
Enfin, le Bachelor ACT propose une ouverture aux publics en difficulté — ce qui est plutôt rare pour une école de commerce — en proposant une gratuité pour tou.te.s les boursier.e.s et en faisant une sélection sur d’autres critères académiques.
Nous considérons que de travailler sur les transitions sociétales et écologiques, cela nécessite d’intégrer tous les profils de jeunes.
Toutes les candidatures sont donc étudiées, et selon des critères qui ne sont pas uniquement académiques (c’est-à-dire, au lycée, les notes) : nous prenons en compte les appréciations des professeurs, un peu, mais surtout les engagements passés et la motivation des étudiants à entrer dans une formation sur les transitions.
Le modèle économique du bachelor est hybride, comme la plupart des acteurs de l’Économie Sociale et Solidaire. Ce modèle est fait pour garantir l’accessibilité sociale du Bachelor. Les revenus du Bachelor sont composés des frais d’inscription des étudiants, mais aussi d’une part de mécénat.
Les frais du bachelor, eux, comprennent notamment le paiement de l’équipe pédagogique permanente et des professeurs, ainsi que le paiement des lieux. Le reste finance les frais de fonctionnement quotidiens, le matériel pédagogique, les séminaires et les excursions… Tout ce qui facilite la vie étudiante et la rend agréable !
Alors, c’est vrai : nous faisons de la communication. Cela correspond à plusieurs objectifs du bachelor :
- D’abord, toucher des jeunes qui n’auraient pas a priori voulu intégrer ou pensé à ce genre de formations : parce qu’elle est payante, et donc pas forcément accessible à toutes et tous ; aussi, parce qu’elle peut susciter l’autocensure, un phénomène malheureusement bien réel qui empêche des jeunes au potentiel incroyable de se lancer dans des cursus ambitieux.
- Aussi, parce que nous voulons porter le sujet des transitions haut et fort, et qu’une manière de la faire est de montrer que l’éducation post-bac peut changer et créer des cursus innovants, sur ces sujets sociétaux précisément. L’enjeu, donc, c’est aussi de moderniser tout l’écosystème de l’enseignement supérieur.
- Enfin, nous avons mis le paquet sur la comm’ pour faire connaître la formation auprès d’un large écosystème pour une raison simple : plus le bachelor est connu, plus des partenaires financiers et pédagogiques peuvent participer, ce qui veut dire… que les coûts de la formation baissent ou que nous pourrons accueillir encore plus de boursiers. Gratuitement ! Car sans argent, pas de palais… et sans palais, pas de palais.
Grande question… qu’on se pose tous les jours. Essayons d’être clairs : nous ne sommes pas partisans, au sens où nous serions affiliés à un parti politique précis. Plusieurs tendances se retrouvent dans les équipes du Bachelor. L’important, pour nous, est que chaque intervenant en cours soit clair sur sa posture et le précise. Cela permet aux étudiants de mieux se situer par rapport à leur intervenant.
Maintenant que c’est dit, posons les choses : oui, le Bachelor ACT est une formation politique. Pour la simple et bonne raison que tout processus d’éducation est politique, car il contribue à former des citoyens, dans une société ! De plus, ayant un projet d’engagement pour cette société, renier cet aspect politique, cela serait renier notre objectif de créer un monde plus sain, plus équitable… plus mieux. On peut dire que notre formation tente d’intervenir sur la société pour faire bouger les lignes. Dans ce sens là, effectivement, notre approche est politique 🙂
Alors maintenant : le Bachelor ACT est-il militant ? Eh bien ça, ça dépend de ce que vous en ferez ! Notre objectif, à nous, c’est le changement sociétal, la parité femmes-hommes dans le monde professionnel, le développement d’une Économie Sociale et Solidaire, la bataille pour l’emploi des jeunes, la revitalisation des territoires dont les quartiers populaires, les zones rurales et les Outre-mer, la lutte contre toutes les formes d’extrémisme politique ou religieux… à vous de voir ce que vous mettez derrière le mot “militant” !
Pas vraiment. Enfin si : on vous explique. Il est clair que le modèle financier du bachelor est celui d’une scolarité chère — plus qu’à l’université publique. Cela dit, nous ne faisons pas de bénéfices — voire la question liée au modèle économique. Nous souhaitons que tous les étudiants de notre formation soient encadrés, avec du coaching notamment, et des vrais temps de recul. Tout l’argent reçu est dépensé au service de la pédagogie. C’est ce qu’on appelle la lucrativité encadrée pour viser des objectifs d’utilité sociale et d’intérêt général.
Exemple : Info sur la gouvernance et la répartition des bénéfices. Dans l’idéal… “on pourrait donc dire que Simplon.co est un social business, dont les bénéfices sont, comme prévu dans son agrément ESUS, réinvestis dans le projet Simplon, et donc dans sa mission sociale et solidaire. Simplon n’a jamais versé de dividendes à ses actionnaires”. Un rapport spécifique d’impact est disponible sur le site Internet Simplon.co et nous aimerions que plus de structures satisfassent à des règles simples de transparence sur leur impact.
Pour toute question sur l’accessibilité de la formation aux étudiant.e.s handicapés, sportifs de haut niveau, artistes, entrepreneurs, salariés… veuillez contacter contact@bacheloract.edu. Notre équipe reviendra vers vous dans les plus brefs délais.